Chaque pièce compte pour notre mobilité !

OUI à l’élargissement des tronçons d’autoroutes.

Toute la Suisse romande a besoin d’une mobilité plus fluide, plus sûre et plus fiable. L’élargissement du tronçon d’autoroute entre Nyon et Genève y contribue. 

C’est pourquoi nous votons OUI  à l’élargissement des tronçons d’autoroute le 24 novembre.

Nos principaux arguments

Actualités

Complémentarité entre la route et le rail

A l’horizon 2050, la Métropole lémanique (Vaud-Genève) pourrait compter plus de 340 000 habitants supplémentaires, ce qui va générer une croissance des besoins de mobilité de l’ordre de 50 à 55%. Face à l’évolution démographique et économique, nos organisations économiques ici présentes sont pragmatiques. Il n’est pas possible de tout miser sur le développement de l’infrastructure ferroviaire. En effet, si 15% des automobilistes actuels optaient pour le rail, il faudrait multiplier par 2 les infrastructures ferroviaires, un objectif hors de portée. Pour nos organisations économiques, le réseau routier et le rail sont complémentaires. Nous nous engageons donc aussi bien pour un développement de la route que du rail. Pour preuve, nos organisations économiques ont conjointement publié un communiqué de presse, en octobre 2023, ainsi qu’une lettre aux membres de la Commission des transports leur demandant de soutenir la réalisation d’une nouvelle ligne ferroviaire entre Genève et Lausanne. Pas plus tard

En savoir plus >

S’adapter à l’évolution des besoins

Ce projet d’élargissement autoroutier est absolument nécessaire pours’adapter à la croissance des besoins. L’enjeu est ici une mise à niveau plus qu’un développement des routes nationales. L’objet fédéral sur lequel les Suisses voteront vraisemblablement en novembre vise à faire coïncider l’offre avec les besoins en mobilité de la population (et non l’inverse !). En outre, il ne s’agit pas d’augmenter les capacités tous azimuts, mais d’élargir quelques tronçons saturés. Les maîtres mots sont ici la proportionnalité et l’économicité. Notons que jusqu’à présent, la Confédération a fait son maximum pour préserver la fonctionnalité du réseau des routes nationales sans procéder à des travaux d’extension de capacité (système de régulation aux entrées des autoroutes, abaissement des vitesses, interdiction de dépassement pour les camions, etc.). Toutefois, ces mesures techniques atteignent leurs limites. C’est la raison pour laquelle la Confédération a mis en place un Programme de développement des routes nationales (PRODES) consistant principalement en

En savoir plus >

Décharger les communes et canaliser le trafic

Qui ne préfère pas rouler lentement en marge de l’autoroute que stagner sur l’autoroute lève la main ? Des heures de bouchons qui entraînent des pertes de temps (40’000 heures en 2022) dont les coûts économiques sont estimés à 1’180 millions de francs (chiffres de 2019) pour les routes nationales. Une saturation du réseau qui perdure et au final des automobilistes qui changent régulièrement leur itinéraire pour s’engager sur le réseau secondaire, pensant aller plus vite. Lorsque l’axe Nyon-Le Vengeron est saturé, ce phénomène est clairement observable dans les villages de la Côte. Un trafic routier de transit s’y déverse tous les jours. Cette démarche est facilitée par les applications qui proposent parfois des circuits complexes sur le réseau secondaire, sans tenir compte des nombreuses nuisances provoquées.  Cette situation nuit de plus en plus à la qualité de vie dans ces villages, crée des ralentissements, perturbe la chaîne d’approvisionnement, mais surtout

En savoir plus >

Voir et partager la vidéo

Partager la vidéo

Facebook
WhatsApp

Témoignages

Christophe Reymond

Directeur du Centre patronal

« Sans l’élimination de ces goulets routiers, le niveau de congestion va se renforcer et causer des dommages irréversibles à l’économie et en premier lieu aux consommateurs qui paieront leurs produits beaucoup plus chers en bout de chaîne en raison d’une accumulation de coûts de transport élevés. »

Philippe Fleury

Directeur de la Fédération des entreprises romandes

« Les autoroutes ont l’avantage d’être sûres en comparaison du reste du réseau routier en raison notamment de l’absence de croisement du trafic. En effet, seuls 8,2 % des accidents de la route provoquant des dommages corporels surviennent sur le réseau autoroutier alors qu’il concentre 41 % du trafic. »

Philippe Miauton

Directeur de la CVCI 

« Garder ce trafic sur une autoroute adaptée permettra de décongestionner le réseau annexe, de redonner de la tranquillité aux régions affectées par le trafic de transit et, enfin, d’améliorer la sécurité de tous les usagers de la route. »

Vincent Subilia

Directeur de la CCIG

« Le réseau routier et le rail sont complémentaires. Nous nous engageons donc aussi bien pour un développement de la route que du rail. Il n’y a aucune concurrence entre les deux projets. »

Jean-Marc Demierre

Président de la Fédération vaudoise des entrepreneurs

« Il est temps de faire en sorte que l’autoroute puisse à nouveau jouer son rôle, il est temps d’apaiser les villages asphyxiés par le trafic de transit, il est temps de permettre aux entreprises et leurs employés de travailler sereinement. »

Partenaires

Abonnez-vous à la newsletter