Coppet – Ce matin, le comité régional lémanique « OUI à la 3e voie. Assurer l’avenir des routes nationales » a tenu sa conférence de presse en présence d’élus fédéraux et d’élus locaux qui ont défendu l’importance de l’élargissement de l’autoroute entre Nyon-Coppet-Le Vengeron. Pour désengorger les agglomérations et villages de la région du trafic de transit, il ne faut pas opposer idéologiquement les moyens de transport. L’arc lémanique a besoin d’une troisième voie pour la voiture et d’une nouvelle ligne pour le train. Les conseillers aux Etats Mauro Poggia (MCG/GE) et Pascal Broulis (PLR/VD) étaient les fers de lance de la conférence de presse située à Coppet, soit au cœur du projet d’élargissement à 3 voies de l’autoroute entre Nyon et Le Vengeron. Pascal Broulis a rappelé l’importance centrale de la complémentarité entre les moyens de transport : « S’il y a bien une région dans laquelle route et

Le 9 octobre, le premier baromètre montre que 56% des sondés sont favorables à l’élargissement des tronçons d’autoroute. Cette relative bonne nouvelle est à prendre avec des pincettes, car le sondage ne dit rien du taux de participation. Or, si le taux de participation est haut dans les centres urbains et faible dans les agglomérations et les campagnes, l’objet peut être rejeté le 24 novembre. C’est donc la mobilisation qui déterminera le sort de cette votation dans 45 jours. Les communes de Terre Sainte unies pour le OUI à l’extension des autoroutes Le 25 septembre dernier, l’assemblée des syndics de Terre Sainte (8 communes) a appelé à voter OUI à l’élargissement des autoroutes. « De mémoire, c’est la première fois que l’assemblée des syndics prend position sur un objet de votation fédéral. Il s’agit d’un sujet qui préoccupe toute la région », indique Roberto Dotta, syndic de Chavannes-des-Bois. Les villages de Terre Sainte croulent sous

Mardi passé, le comité « Pour une Suisse qui avance – Assurer le futur des routes nationales OUI » a tenu sa conférence de presse à Berne en présence des sénateurs Mauro Poggia (GE) et Pascal Broulis (VD) qui seront les fers-de-lance de la campagne en Suisse romande. Fluidifier le trafic ! 48’000 : c’est le nombre record d’heures d’embouteillage décomptées sur le réseau des routes nationales en 2023, soit une augmentation de 22,4% par rapport à l’année précédente. Dans ces conditions, la construction d’une troisième voie permettra de fluidifier le trafic comme ce fut récemment le cas dans la banlieue nord de Zurich avec l’élargissement du tunnel du Gubrist. Améliorer la sécurité ! Dans les villes et les villages, voitures, cyclistes et piétons se côtoient et partagent la même chaussée. Les risques d’accidents y sont bien plus grands que sur l’autoroute. « En 2023, 236 personnes sont mortes sur les routes suisses, et

Dans le canton de Zurich, plusieurs tronçons d’autoroute ont été élargis à 3 voies ces deux dernières décennies. Cet élargissement a fait diminuer le trafic sur le réseau secondaire de 13% à 20%. Les risques d’accident ont également chuté de 75%. Grâce à l’élargissement de l’autoroute entre Nyon et Genève, les villages de La Côte seront libérés du trafic de transit et le risque d’accident diminuera considérablement. La sécurité routière est une priorité pour chaque automobiliste et l’élargissement à 3 voies du tronçon de l’A1 entre Nyon et Genève contribue à renforcer la sécurité sur les autoroutes ainsi que dans les localités qui ne seront plus engorgées du trafic de transit.   C’est donc un grand OUI le 24 novembre à l’élargissement des tronçons d’autoroute ! Le directeur de la CCIG plaide pour une amélioration significative des infrastructures ferroviaires et routières sur l’arc lémanique. C’est avec conviction que la CCIG s’engage

Dimanche dernier, dans Le Matin Dimanche, l’ancien conseiller aux Etats Olivier Français, spécialiste de la politique des transports, défendait l’extension à 3 voies des tronçons d’autoroute. Il affirmait que raviver la guerre entre rail et route est une erreur. Lisez ici son interview dans 24heures ou dans la Tribune de Genève Christelle Luisier s’engage pour le OUI à la 3e voie d’autoroute ! Le développement des infrastructures de mobilité sur l’axe Genève-Lausanne est prioritaire pour les conseillers d’Etats des cantons de Vaud et Genève. C’est pourquoi la présidente du Conseil d’Etat vaudois, Christelle Luisier, s’engage pour le OUI à la 3e voie d’autoroute entre Nyon et Genève Olivier Fantino rappelle les chiffres de l’autoroute en Suisse lors de la rentrée de la CVCI Le 22 août dernier, le directeur de Route Suisse, Olivier Fantino, a présenté les faits et les chiffres qui replacent l’église au milieu du village, respectivement l’autoroute au centre de la mobilité des

Toute la Suisse romande a besoin d’une mobilité plus fluide, plus sûre et plus fiable. L’élargissement du tronçon d’autoroute entre Nyon et Genève y contribuera. C’est pourquoi nous votons OUI à l’élargissement des tronçons d’autoroute le 24 novembre. Les fausses bonnes idées des opposants : « Pourquoi ne pas utiliser la bande d’arrêt d’urgence plutôt que de créer une 3e voie ? » Afin de saboter la création de la 3e voie d’autoroute entre Nyon et Genève, les opposants affirment qu’il suffirait de permettre la circulation sur la bande d’arrêt d’urgence, comme entre Ecublens et Morges. Pour plusieurs raisons, dont la sécurité, c’est une mauvaise idée. Rendez-vous sur notre page Questions et réponses pour découvrir les nombreux arguments qui parlent en faveur d’un OUI à la 3e voie le 24 novembre 2024 Une vaste alliance pour le OUI !    Les milieux économiques des cantons de Vaud et Genève marchent main dans la main pour un OUI à la

A l’horizon 2050, la Métropole lémanique (Vaud-Genève) pourrait compter plus de 340 000 habitants supplémentaires, ce qui va générer une croissance des besoins de mobilité de l’ordre de 50 à 55%. Face à l’évolution démographique et économique, nos organisations économiques ici présentes sont pragmatiques. Il n’est pas possible de tout miser sur le développement de l’infrastructure ferroviaire. En effet, si 15% des automobilistes actuels optaient pour le rail, il faudrait multiplier par 2 les infrastructures ferroviaires, un objectif hors de portée. Pour nos organisations économiques, le réseau routier et le rail sont complémentaires. Nous nous engageons donc aussi bien pour un développement de la route que du rail. Pour preuve, nos organisations économiques ont conjointement publié un communiqué de presse, en octobre 2023, ainsi qu’une lettre aux membres de la Commission des transports leur demandant de soutenir la réalisation d’une nouvelle ligne ferroviaire entre Genève et Lausanne. Pas plus tard

Ce projet d’élargissement autoroutier est absolument nécessaire pours’adapter à la croissance des besoins. L’enjeu est ici une mise à niveau plus qu’un développement des routes nationales. L’objet fédéral sur lequel les Suisses voteront vraisemblablement en novembre vise à faire coïncider l’offre avec les besoins en mobilité de la population (et non l’inverse !). En outre, il ne s’agit pas d’augmenter les capacités tous azimuts, mais d’élargir quelques tronçons saturés. Les maîtres mots sont ici la proportionnalité et l’économicité. Notons que jusqu’à présent, la Confédération a fait son maximum pour préserver la fonctionnalité du réseau des routes nationales sans procéder à des travaux d’extension de capacité (système de régulation aux entrées des autoroutes, abaissement des vitesses, interdiction de dépassement pour les camions, etc.). Toutefois, ces mesures techniques atteignent leurs limites. C’est la raison pour laquelle la Confédération a mis en place un Programme de développement des routes nationales (PRODES) consistant principalement en

Qui ne préfère pas rouler lentement en marge de l’autoroute que stagner sur l’autoroute lève la main ? Des heures de bouchons qui entraînent des pertes de temps (40’000 heures en 2022) dont les coûts économiques sont estimés à 1’180 millions de francs (chiffres de 2019) pour les routes nationales. Une saturation du réseau qui perdure et au final des automobilistes qui changent régulièrement leur itinéraire pour s’engager sur le réseau secondaire, pensant aller plus vite. Lorsque l’axe Nyon-Le Vengeron est saturé, ce phénomène est clairement observable dans les villages de la Côte. Un trafic routier de transit s’y déverse tous les jours. Cette démarche est facilitée par les applications qui proposent parfois des circuits complexes sur le réseau secondaire, sans tenir compte des nombreuses nuisances provoquées.  Cette situation nuit de plus en plus à la qualité de vie dans ces villages, crée des ralentissements, perturbe la chaîne d’approvisionnement, mais surtout

Les routes nationales ne représentent que 2,7% de la totalité du réseau routier suisse, soit près de 85’000 kilomètres, mais elles concentrent un peu plus de 41% de la totalité du trafic routier et 74 % du transport routier de marchandises. La résultante de cette concentration de trafic est l’efficience extrême du réseau autoroutier : il absorbe 800 personnes-kilomètres par mètre carré, soit 2,5 fois plus que le train et 8 fois plus que le reste du réseau routier (OFROU, 2022).  Du point de vue de l’exploitation des surfaces, le système des routes nationales est donc de loin l’infrastructure de transport la plus efficace. L’emprise au sol de ces élargissements, limitée à 3,3 hectares de surface d’assolement pour le tronçon Le Vengeron-Nyon (environ 4 terrains de foot), est très faible au regard d’autres projets d’infrastructures et des bénéfices attendus. Elle est donc entièrement justifiée. En ce qui concerne le transport de

Les entrepreneurs évoluent dans un domaine toujours plus compétitif où la pression des délais devient problématique. Pour les entreprises actives sur l’Arc lémanique, la congestion du trafic, notamment sur l’axe Lausanne-Genève, est un obstacle majeur. Les embouteillages sur l’autoroute retardent et compliquent non seulement le déplacement des équipes sur les chantiers, mais aussi la coordination des différents corps de métiers et le bon déroulement des travaux. De plus, la livraison de matériel subit des retards perturbant ainsi l’ensemble du processus de construction. Pour illustrer cet état de fait, une entreprise coopératrice de la Fédération vaudoise des entrepreneurs active dans la production et la livraison de graviers et de béton frais a analysé les heures et pertes financières occasionnées sur le tracé du projet de 3e voie. L’autoroute A1 entre Genève-Est et Lausanne-Ouest est la colonne vertébrale de la zone de chalandise de cette PME vaudoise dont le parc de véhicules

Les mesures d’expansion prévues garantissent le maintien des conditions-cadres nécessaires à une société stable. Ils permettent de faire face à la demande croissante de mobilité.